
Désolé pour cette longue introduction, mais White Lies mérite qu'on s'attarde sur son cas.Donc voila, 28 Octobre 2009, Elysée Montmartre. On y est, le moment de vérifier si le groupe transforme l'essais. Votre serviteur, le post-futuriste et énigmatique Mr J, m'avait prévenu, le groupe est très bon en live.Le bougre n'a pas menti. Dès son arrivée sur scène, la bande mené par Harry mc Veigh, met les points sur les i.
Ca joue et ça chante très bien. Un son énorme, presque crystalin pour la guitare et le synthé (glucose comme on les aime), et extrêmement puissant pour la basse et la batterie. Tout le premier album des anglais y passera : l'inévitable farewell to the fairground, to lose my life, death etc, et le tout, sans aucune fausse note.
(Toi le fan de Pete Doherty qui parle avec ta meuf pendant tout le concert, oui toi, la prochaine fois, ne vient pas.)