Avec cette somme, il parvient à payer : minervals, primes des enseignants et autres frais connexes. « Depuis un temps, Papa est dispensé de beaucoup des charges ». José a reçu d’un oncle cet instrument. Il s’en réjouit et déplore cependant la banalisation de son activité : « souvent j’ai de problèmes avec des policiers, qui me chassent d’ici. Avec une petite corruption, je les tranquillisent et me laissent travailler pendant un temps». Surpris par ce propos, j’ai été curieux de lui demander combien il donnait aux policiers afin de lui permettre de travailler. « Par exemple hier, un policier de roulage m’a interpellé, et m’a demandé de déguerpir. Je lui ai fait 100 francs et il m’a laissé en paix » m’avait-il déclaré.
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