Si les députés ont finalement opté pour cette gratuité ciblée, c'est pour éviter que toutes les entreprises employant des Français à l'étranger reportent les frais de scolarités des enfants des salariés uniquement sur le dos de l'Etat.
La rallonge budgétaire octroyée à l'AEFE devrait principalement être consacrée à l'entretien du parc immobilier des lycées français à l'étranger rapporte l'AFP. Quant à la gratuité de la scolarité, elle devrait être plus que limitée dès l'entrée en classe de seconde.