Il a été condamné à quatre ans de réclusion, sous déduction de la détention préventive subie. Le consultant externe de la CRPE a été reconnu coupable de participation aux infractions d'abus de confiance et de gestion déloyale ainsi que de faux dans les titres. Il a été condamné à une peine privative de liberté de vingt-quatre mois, avec sursis pendant deux ans, sous déduction de la détention préventive subie. Il a en revanche été libéré de l'infraction de blanchiment d'argent. Quant à l'employé de banque, il a été acquitté, aucune des charges figurant dans l'arrêt de renvoi n'ayant été retenue à son encontre. S'agissant des prétentions civiles formulées par la CRPE, Ignace Rey et le consultant externe ont été condamnés à lui rembourser le dommage causé. Quant aux prétentions civiles de la FMEF, elles ont été réservées et renvoyées au for civil. Divers avoirs bancaires appartenant à Ignace Rey ont été restitués à la CRPE. En outre, plusieurs biens immobiliers propriété d'Ignace Rey et du consultant externe ont été placés sous séquestre afin de garantir le paiement des créances compensatrices prononcées à leur encontre et des frais de justice. Les frais de justice ont été répartis proportionnellement entre Ignace Rey, le consultant externe et l'Etat du Valais.
Il a été condamné à quatre ans de réclusion, sous déduction de la détention préventive subie. Le consultant externe de la CRPE a été reconnu coupable de participation aux infractions d'abus de confiance et de gestion déloyale ainsi que de faux dans les titres. Il a été condamné à une peine privative de liberté de vingt-quatre mois, avec sursis pendant deux ans, sous déduction de la détention préventive subie. Il a en revanche été libéré de l'infraction de blanchiment d'argent. Quant à l'employé de banque, il a été acquitté, aucune des charges figurant dans l'arrêt de renvoi n'ayant été retenue à son encontre. S'agissant des prétentions civiles formulées par la CRPE, Ignace Rey et le consultant externe ont été condamnés à lui rembourser le dommage causé. Quant aux prétentions civiles de la FMEF, elles ont été réservées et renvoyées au for civil. Divers avoirs bancaires appartenant à Ignace Rey ont été restitués à la CRPE. En outre, plusieurs biens immobiliers propriété d'Ignace Rey et du consultant externe ont été placés sous séquestre afin de garantir le paiement des créances compensatrices prononcées à leur encontre et des frais de justice. Les frais de justice ont été répartis proportionnellement entre Ignace Rey, le consultant externe et l'Etat du Valais.