Tout doucement, il s’est couché sur le trottoir plat,
Le trottoir part à toute vitesse.
Il s’est assis par terre
Et son siège s’envole.
Il n’espère plus de repos que sur la tête de ses enfants,
Il les attend patiemment.
(Paul Eluard)
Tout doucement, il s’est couché sur le trottoir plat,
Le trottoir part à toute vitesse.
Il s’est assis par terre
Et son siège s’envole.
Il n’espère plus de repos que sur la tête de ses enfants,
Il les attend patiemment.
(Paul Eluard)