La connexion se fait par internet, directement à la bibliothèque ou depuis chez soi, simplement en tapant le numéro d'abonné : seul le Kindle ne peut pas les lire, puisqu'il repose sur des logiciels propriétaires. Et souci en moins pour les lecteurs, l'ebook disparaît au bout de 14 jours. Pour Tony Durcan, président de la Society of Chief Librarians, est lui-même très confiant, constatant que les problématiques liées à la lecture ont sérieusement diminué. « C'est un développement passionnant. Ils ne remplaceront pas les livres papier, ils s'ajoutent. »
Outre l'intérêt d'un coût moindre, et l'impossibilité de voler ou de détériorer les ebooks, ces derniers offrent des solutions de lecture pour personnes âgées ou confinées chez elle. Les outils de lecture sont encore ce qu'ils sont, mais d'ici quelques années... D'ailleurs, à Newcastle, on envisage aussi d'acheter des lecteurs ebooks pour les prêter aux personnes âgées.
À Angers, une initiative a été mise en place dans la bibliothèque universitaire pour les étudiants, avec le prêt du Cybook, organisé par Daniel Bourrion, et depuis les Sony Reader PRS-505 se sont ajoutés...