La crise ne doit pas être un prétexte à des dérives budgétaires extravagantes mais au contraire l’occasion d’évaluer sincèrement et courageusement nos besoins et nos dépenses. S’il soutient la relance par l’investissement, laquelle incarne l’espoir et l’avenir, notre hôte (et on le reconnaît bien là) lance un appel au bon sens et invite l’Etat à résorber les déficits publics dans un délai réaliste mais assez bref tout de même ! Il n’est jamais trop tard pour bien faire !