Eric Zemmour analyse le retrait de Jean Sarkozy dans sa course à la présidence de l’EPAD. Il affirme que "la révolte est venue d’Internet", que Nicolas Sarkozy ne maîtrise pas, lui qui imposait jusqu’ici son agenda aux médias classiques.
"Sarkozy et les médias sont pris à revers et sont balayés par Internet", poursuit-il.