Étreintes brisées de Pedro Almodovar

Samedi dernier, la mère de Max m'as proposé une sortie ciné avec elle et une de ses amis, j'ai accepté avec grand plaisir. De un parsque c'était a l'utopia (cinéma magnifique et extrèmement agréable) et de deux car j'avais une grande envie de voir ce film.

Etreinte brisée est donc le dernier née d'Almodovar. Un film qui nous présente le cinéma dans le cinéma. L'histoire commencer avec un aveugle, Harry Caine enciennement Matéo Balnco. Matéo était cinéaste, Harry est scénariste. A la suite d'une série d'évènement il est devenu aveugle. Le film raconte son histoire, a la foie dans le présent ou il écrit des scénario qu'il ne véra jamais les images et il y a 14 ans ou il tournais ses propres films. Une histoire d'amour qui le conduira a la perte de ses biens les plus précieux.
Si vous n'avez pas aimé les autres film d'Almodovar tels que Tallons aiguilles (1991), Tout sur ma mère (1999), La mauvaise éducation (2004) ou Volver (2006) n'allez pas voir celui la. Le style est dans la ligne directe de celui çi. Amodovar a une fasson de filmer bien spécifique, lente avec de long plans raproché. Il s'en dégage une certaine simplicité et une sensualitée qui laisse place au sentiments.

Dans ce film, Almodovar travaille de nouveau avec celle qui est son égérie du moment tant il lui donne une importante dimention. C'est bien sur Pénélope Cruz donc je vous parle. Elle m'avais imprétionée et agréablement surprise en mère dans Volver, elle est tout aussi belle et crédible dans Etreintes Brisées. Elle joue une femme donc le grand rève est d'ètre actrice et dont le coeur vas chavirer pour Matéo. Almodovar a toujours donné aux femmes une place particulière, les filmant d'une fasson bien précise, leur donnat des roles a forte personalitée. C'est aussi le cas ici, et Pénélope Cruz assime a merveille toutes les dimentions du personnage.

L'histoire d'amour n'est pas le seul sujet du film, je dirais mème que ce n'est pasle sujet principal. Ce film est avant tout un film sur le cinéma, sur ses pièges, les peur de ceux qui le font et la fasson dont il manipule ceux qui l'aiment. L'histoire de ce cinéaste qui en perdant la vue perd toute sa capacitée a faire un film est je trouve très représentative des peur que peuvent ressentir ce genre de personne. Les conaisseurs reconaitrons dans le film que Matéo Blanco tourne, un film d'Almodovar lui mème, Femmes au bord de la crise de nerf dont une scène entière est présente a plusieurs reprises. Cela renforce a mes yeux le lien qui peu exister entre Matéo/ Harry Caine et Almodovar lui mème.
Bon a la base j'adore Almodovar je ne suis donc pas totalement objective. J'aime sa manière décalée de tourner, cela fait un bien fou d'aller au cinéma pour voir un film sans effet spéciaux, sans grosse explosion sans grand stress sans peur panique ou un vrai scénario mène le jeu et ou l'émotion est a la foie présente et crédible. Et mème si j'ai trouvé que celui la était moins déjanté que les autre il n'en est que plus axécible au grand public en étant tout aussi beau. C'est donc un gros oui, allez le voir, vous passerez un très bon moment.