C’est la scène finale, teintée de l’ambiguïté de la disparition du petit Prince qui n’est pas fait pour cette terre...
Il s’agira, dans cet épilogue qui réunit à nouveau l’ensemble de la distribution dans un espace commun (peut-être la cour de récréation), de raconter la disparition en ménageant l’ambiguïté de l’absence de l’être cher par un jeu sur les mots, les euphémismes, les images, autant d’éléments qui tâcheront d’expliquer autrement la mort (on comprend que la rencontre avec le serpent a été fatale).
Il faut toutefois que le spectateur reparte avec un sentiment d’espoir et une impression rafraichissante de poésie comme à l’issue de l’œuvre de Saint-Exupéry.