En une poignée d'album, Bradford Cox est devenu, à mes yeux, l'une des personnalités musicales les plus passionnantes à suivre de ces dernières années. Monomaniaque du son, véritable éponge - en particulier de l'indie des '90- personnage tourmenté, Cox travaille ses albums (Deerhunter ou Atlas Sound) à la manière d'un Phil Elvrum, comme s'il bâtissait patiemment son œuvre pierre par pierre. Chaque disque contient sa vision du rock et sa touche de génie, le petit plus qui laisse entrevoir que Cox peut encore élever le niveau lors du prochain enregistrement et nous surprendre. Bradford Cox ne se fout pas de la gueule du monde et c'est pour ça que je l'aime.
En une poignée d'album, Bradford Cox est devenu, à mes yeux, l'une des personnalités musicales les plus passionnantes à suivre de ces dernières années. Monomaniaque du son, véritable éponge - en particulier de l'indie des '90- personnage tourmenté, Cox travaille ses albums (Deerhunter ou Atlas Sound) à la manière d'un Phil Elvrum, comme s'il bâtissait patiemment son œuvre pierre par pierre. Chaque disque contient sa vision du rock et sa touche de génie, le petit plus qui laisse entrevoir que Cox peut encore élever le niveau lors du prochain enregistrement et nous surprendre. Bradford Cox ne se fout pas de la gueule du monde et c'est pour ça que je l'aime.