Le chčque volé ou l''amitié blessée
La porte de la maison est ouverte comme mon coeur... La trahison, la naďveté de croire en l'amour, et l'amitié prend alors des relents de haine... Envie de tout foutre en l'air, de se foutre en l'air, mais il ne faut pas lâcher prise, croire encore et encore, remettre la confiance en route comme <cent fois l'ouvrage sur le métier>, les dommages matériels, les ennuis en cascade, tout ça n'est rien... Reste juste la blessure indélébile, ne pas savoir si l'ami<e> qui vous souri<e> l'a fait par cupidité ou par amour-amitié... La haine vous submerge, d'un seul coup, sentiment tout nouveau qui vous rappelle que vous ętes un humain et non un animal, vague d'émotions contradictoires, déception sentimentale, obligé un ętre humain ŕ douter de l'amitié, est déjŕ un acte inhumain... De vous le dire, me soulage, de vous l'écrire me renforce... Et puis, au moment ou tout devient sombre, ou le doute vous fait mal, un ami vous tend la main, vous donne la bouffée d'oxygčne qui vous permet de respirer, qui vous redonne l'espoir que la trahison est une vilaine chose, mais que l'amitié est plus forte, l'amitié sans condition, sans arričre pensée, juste par amour de l'amitié...Un Prince du vrai, <Quelqu'un de bien> ...
Alors l'amitié blessée referme ses plaies Ce texte est dédié ŕ un ami...