Comme son nom l’indique… J’ai beaucoup aimé Biolay à ses débuts, auteurs d’albums élégants et complexes. Son premier opus, Rose Kennedy était exceptionnel, ses collaborations avec Keren Ann lumineuses. Il a même été aux manettes d’une friandise trop méconnue, l’album de sa sœur Coralie Clément, qui s’appelait « Salle des pas perdus ».
Il s’était un peu perdu depuis quelques années, réfugié dans une posture de provocateur aigri tirant sur tout ce qui bouge. Là il nous revient avec un nouvel album, La Superbe, un album bilan à priori. Je n’ai écouté que ce titre mais j’ai retrouvé tout ce que j’aime chez cet artiste : les orchestrations complexes, les textes à double sens, les références assumées et bien digérées.
Ecoutez donc !
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