En entrevue, il affirme que les États en faillite et en déroute, comme l'Afghanistan, présentent toujours des risques concernant le respect des droits de la personne. « On savait qu'il y avait des risques dans les prisons afghanes, mais à l'époque, on pensait que la surveillance de la Croix-Rouge était suffisante, car on leur transmettait les informations sur chaque prisonnier », dit-il.
On connait la suite....(Extrait tiré de l'article paru dans le Devoir)
UN TÉMOIN GÊNANT POUR LE GOUVERNEMENT CANADIEN
La déclaration de M. Colvin est en contradiction avec celles de M. Harper et de certains ministres, qui, au printemps 2007. lorsque le Globe and Mail avait publié des articles sur les allégations de torture, ont affirmé n'avoir jamais été informés de ce risque.
Quinze autres rapports sur la question ont été envoyés jusqu'à l'automne 2007. Malgré ces avertissements, le gouvernement a continué de confier les prisonniers de l'armée canadienne aux prisons afghanes.
Source Branchez vous