Keitaro Urashima est un jeune garçon de 19 qui a échoué deux fois l’examen d’entré de l’université de Todaï, il y a 15 ans il a fait la promesse à une fille qu’ils se retrouveront à Todaï. Ses parents ne pouvent plus l’hébergés, celui-ci reçoit une lettre de sa grand mère qui vie à la pension hinata, mais il ignore que cette hôtel et une pension pour jeune fille, à son arrivé il se fait traité de voyeur, grâce à l’intervention de sa tante il devient le nouveau gérant de la pension.
Véritable phénomène au Japon, Love Hina est tout aussi culte en France…. et à juste titre. Et oui, aussi surprenant que ca en a l’air, j’ai beaucoup ce manga, un peu loufoque.
J’avoue que le scénario est pauvre avec pour seul fil conducteur, la recherche d’un amour perdu. L’histoire n’est qu’une succession de gags peu recherchés mais efficaces. Le principe est simple : le héros arrive, fait une boulette (généralement voir les filles nues) et se prend un méga-combo. On peut avoir peur que ça devienne lassant mais les persos évoluent et deviennent plus matures. Le côté puéril s’efface progressivement et on peut noter l’apparition dans les derniers tomes d’une certaine maturité dans la psychologie (ne craignez rien, l’humour ne disparait pas pour autant). Et puis, on ne demande pas non plus à ce genre de manga d’être intelligent, juste de distraire.
Les persos sont justement très intéressants car leur psychologie est plus complexe au fil des tomes. Ils sont attachants et c’est un vrai plaisir de suivre leur évolution et ont chacun un intêret qui lui est propre. Tout le monde peut trouver un protagoniste auquel s’identifier.
Love Hina est culte et on comprend pourquoi. On dévore les tomes sans jamais se lasser. Si vous ne l’avez pas encore lu, courrez-y vite, vous ne serez pas déçu. Par contre, l’anime s’éloigne du manga et est bien moins bons (enfin, je trouve).
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