Cet été, j’ai lancé le
premier Friendfeed du storytelling. J’y diffuse des informations en
français et en anglais, tout en continuant à blogueur sur le storytelling et à alimenter mon compte
Twitter. Alors, quel bilan ?
Friendfeed a cela de formidable qu’il permet très simplement de suivre l’excellent conseil de Jeff Jarvis (le spécialiste des trends de
l’information) : faire un lien vers une ressource existante est plus économe en temps et plus efficace que de résumer cette même ressource dans un post. J’utilise pour cela la très pratique
application Bookmarklet qui, en plus du lien, permet d’ajouter un commentaire texte, et d’insérer une photo depuis n’importe quelle page web, d’un clic.
J’ai aussi connecté le flux RSS de mon blog et celui de mon Twitter sur mon Friendfeed, pour en faire un agrégateur encore un peu plus complet.
Ce n’est pour l’instant qu’un début, je n’utilise de loin pas toutes les fonctionnalités, mais c’est une vraie valeur ajoutée pour les visiteurs, je trouve.
Cela dit, Friendfeed n’est pas encore un service très populaire en France. Bon nombre de mes abonnés (l’équivalent des followers chez Twitter) sont d’ailleurs anglo-saxons. Ceci expliquant
cela : ils ne sont pas encore légion.
Déjà mature aux USA, disponible en français, Friendfeed devrait toutefois monter davantage en puissance (globalement, et à titre personnel) en France. Sauf si une autre application lui passe devant. Et bien alors, je switcherai moi aussi. D’ailleurs, il y a effectivement une application qui pointe le bout de son nez…