Aux imminentes nues
l’été se révèle transparence
De la chair fragrance
plus que le toucher aérienne
Par les brèches des ruines
arrivent les senteurs d’orage
Soif devenant don
hors-ciel dahlias du jour …
Aux imminentes nues
la terre soudain s’ouvre aux larmes
Proche du corps du coeur
pluie de pétales, extase d’étoiles
(François Cheng)
Illustration