Un peu plus loin dans la psychologie inversée

Publié le 21 octobre 2009 par Ledjam

Le résumé de l'épisode précédent est ici : le nouveau Girl Talk en prix libre.
Le modèle du prix libre est bien entendu applicable à d'autres marchés que celui de la musique, comme par exemple le jeu vidéo. Et spécialement chez les petits artisans du secteur. Comme ceux que nous présentions ici.
Et ça tombe  bien, car l'éditeur 2Dboy du sus-mentionné du jeu fameux "World of goo" a décidé de tenter l'expérience pour l'anniversaire de sa sortie. Et tant mieux pour lui car en prix libre, les recettes sont meilleures que lorsqu'il fallait s'acquitter de 20$ ou d'un piratage illégal.

"Les trois quarts des joueurs ont payé plus que le minimum de 1 centime imposé par 2D Boy". A la fois un beau tour de passe-passe commercial (100 000 $ de recettes) et un énorme coup de boost sur le nombre de copies en distribution et la renommée du jeu.

Vite, je me jette sur World of Goo pour le finir une deuxième fois.




Plus les détails sur Numerama, via @Eow