Alors que la doctrine judéo chrétienne a culpabilisé des générations entières pendant des siècles, la blonde s'en tape complètement de contribuer à réveiller légèrement ce vieux sentiment de culpabilité quand les leitmotiv préférés des français d'aujourd'hui sont "C'est pas de ma faute..." ou "j'y peux rien", "c'est pas moi, c'est lui" ou encore "Qu'est-ce que j'y peux, c'est à cause de...".
Oui, on le sait, il y a toujours pire que soi, et les plus pollueurs sont les plus riches comme l'explique si bien Hervé Kempf dans "comment les riches détruisent la planète" mais un brin de culpabilité comme moteur pour se bouger le c... et obliger les décideurs à se botter le leur, est-ce bien si outrageusement gravissime ?