Le jour où elle se coucha pour la dernière fois
Reposant sa tête sur mon giron
Elle ne pouvait supporter la douleur dans sa poitrine
Elle délia le noeud de sa blouse
Laissa apparaître ses seins
Ses têtons étaient bleu foncés
Comme jadis
Moi et huit ou neuf de mes frères et soeurs
S’étaient nourris à ces seins
(Yi Pyông-Ki)
Illustration