Si un beau matin il n’y avait plus ni vent ni pluie
les riches fleurs qui couvrent cette branche
où s’en iraient-elles
Sur le coeur humain elles pèseraient
jusqu’à l’ennui
jusqu’à l’écoeurement
(Ping Hsin)
Si un beau matin il n’y avait plus ni vent ni pluie
les riches fleurs qui couvrent cette branche
où s’en iraient-elles
Sur le coeur humain elles pèseraient
jusqu’à l’ennui
jusqu’à l’écoeurement
(Ping Hsin)