Didier reynders : « le syndrome » du mr

Publié le 20 octobre 2009 par Mj1729

DIDIER REYNDERS :

 « LE SYNDROME » DU MR

L'HEURE DE L'ECHEC POLITIQUE DE DIDIER REYNDERS EST PROCHE,

L'ÉCLATEMENT DU MR EST POSSIBLE !

« La remise en question » du président Didier Reynders (MR) est simple et vite faite, il n'y en a pas et donc ce sera tout le parti qui sera sacrifié.

Le parti MR n'est plus crédible aux yeux de l'opinion public car le personnage Didier Reynders n'a plus bonne presse dans l'électorat, le remplacer à peine à moins de deux ans des élections fédérales de 2011 ne suffira pas, « il n'y a pas qu'à », c'est déjà trop tard, le MR est plombé sur la scène politique !

Depuis sa victoire éclatante des élections de juin 2007, c'est la descente aux enfers que plus rien n'épargnera, le MR Didier Reynders n'a pas d'autre aboutissement que de passer la main, car toutes les chances de réformer son parti et de se positionner auprès des électeurs libéraux francophones sont maintenant derrière lui, il appartient déjà aux hommes politiques du passé avec un MR qui n'est plus près de devenir premier parti wallon et bruxellois avant bien longtemps !

Tous les faits sont là pour nous rappeler que l'accumulation des symptômes de Didier Reynders(*), conduit au « syndrome » d'un parti libéral malade avec l'aboutissement des heures qui sont maintenant comptées pour le départ de la tête du parti : le président et ministre Didier REYNDERS qui paradoxalement n'aura pas contribuer à réformer le mouvement des réformateurs mais consacrer l'implosion du parti et ses schismes internes, du pain bénit pour la nouvelle droite populaire PP du duo Modrikamen- Rudy Aernoudt!

Le MR existe-t-il encore, n'est-il pas voué à disparaître à brève échéance, succombant à la "grave maladie", le "syndrome narcissique" de son capitaine de président à la barre, Didier Reynders, obstiné à poursuivre le naufrage du "vaisseau" libéral réformateur fortement éperonné de toute part, le "Titanic" a coulé en l'espace d'une nuit, le MR ne fera pas guère mieux !

  

(*) Les responsabilités de Didier Reynders sont connues (chronologie des faits) : ses erreurs de stratégie de l'époque lui mettent beaucoup de monde à dos et une composition ministérielle totalement défavorable au retour de Guy Verhofstadt qui lui fait perdre de l'influence. Son arrogance et ironie depuis l'orange-bleu sur le terrain fédéral contre Leterme (CD&V) et Joëlle Milquet (CDH), cet acharnement Reynders-Milquet relèguera le MR aux Régions et aux Communautés dans l'opposition en juin 2009.Les critiques de son département des Finances. Son action critiquée en septembre 2008 lors de la crise bancaire et financière en revendant  Fortis. Sa campagne agressive (contraire à une campagne d'ouverture aux citoyens) à l'égard du PS de Di Rupo le conduit à l'échec électoral de la campagne 2009 avec aucune possibilité d'alliance post-électorale que lui reprochera son parti. Le MR est isolé politiquement par les erreurs de stratégie de Reynders. L'omniprésidence de Didier Reynders jouant le MR en faisant son "one man show" permanent (il se recroqueville dans sa coquille de l'orgueil, son côté ego désagréable), aucune ouverture ni écoute à la critique. Le lynchage et le sabordage de la cheffe de groupe MR au Sénat Christine Defraigne avec les déclarations assassines de sa remplaçante Dominique Tilmans, les rivalités et les combats de chef sournois de Louis Michel et Charles Michel qui convoite le poste de Vice-Premier ministre, sans doute la présidence du MR, « les putchistes » aidés des 35 personnalités libérales illustres contre le président Didier Reynders isolé qu'ils ne souhaitent pas voir accrocher au pouvoir jusqu'en 2012.