En songeant à mes boulots précédents, et bien sûr à l'actuel, je me dis que peu est fait pour mobiliser. Et qu'on en a du mérite, nous autres, à le rester, mobilisés. Pourtant, dixit un économiste américain, c'est quand la mer se retire que l'on voit ceux qui nagent sans maillot de bain.
Comment réagir en pratique, indique par ailleurs le dossier ? Quelques préconisations : Ne pas attendre d'avoir quelque chose à dire pour communiquer. Savoir dire je ne sais pas. Le volontarisme oui, l'optimisme inconsidéré non. Partager des éléments d'analyse. Lutter contre le désoeuvrement.
A l'adresse des salariés, il est également suggéré de surfer sur la crise. D'en faire une opportunité. Etre contre-intuitif, par exemple. L'instinct tend à nous faire courber le dos, ou faire le dos rond. Pas du tout ! Aller de l'avant, c'est mieux. Il faut aussi se savoir observé, et donc, ne pas hésiter à se montrer. Faire savoir, autant que savoir faire, crise ou pas. Rester audacieux, donc. Et valoriser ce que l'on a appris.
Avec tout ça, ça devrait bien se passer ;-)