Recherche d'un compromis autour du futur Président de la république
Les chefs de la diplomatie française, italienne et espagnole, en visite ce samedi à Beyrouth, ont évoqué un climat plus "positif" et "constructif" entre les protagonistes libanais concernant l'élection présidentielle."On a constaté une dynamique nouvelle, une volonté de réussir, un sentiment d'engagement constructif", a déclaré le ministre espagnol des Affaires étrangères Miguel Angel Moratinos lors d'une conférence de presse à la Résidence des pins, résidence de l'ambassadeur de France au Liban."Nous avons eu l'impression que, oui, ça va mieux", a indiqué de son côté son homologue français Bernard Kouchner. A moins d'une semaine de la deuxième convocation du parlement libanais pour l'élection d'un nouveau président, prévue mardi, la séance semble vouée à l'échec faute de consensus entre majorité et opposition. Le délai constitutionnel pour l'élection du chef de l'Etat prend fin le 24 novembre.
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