Au promontoire des certitudes revenues
Mes deux mains se rejoignent
Au tendre du visage
Par la confiance retrouvée
Et l’odeur du café
Portant l’aube étonnée
Par les bourgeons d’amour
Qui sur l’eau des fontaines
Dansent chaque midi
Par les corps apaisés
Qui fleurissent le soir
L’oreiller du silence
Au promontoire des certitudes revenues
Nos deux mains se rejoignent
Au tendre du visage…
(Claude Braun)