Exploration de l’œuvre de Milos Forman (suite). Mon opinion ne s’améliore pas.
J’ai trouvé ce film extrêmement désagréable, comme le rire qu’il prête à Mozart. Le médiocre jaloux du génie, et qui le rend fou.
Peut-être est-ce une parabole ? Parlerait-elle du régime soviétique dont il vient ? En tout cas cela évoque bien trop les manœuvres des couches « politiques » aussi bien de l’état que de l’entreprise pour ne pas mal tomber un jour où je veux me changer les idées.
Compléments :
- Du coup, je me suis rappelé Vol au dessus d’un nid de coucou, que j’ai vu il y a très longtemps, et me suis demandé s’il ne venait pas de la même inspiration.
- Les amours d’une blonde