Le Museum of Modern Art, plus familièrement appelé le MOMA, gros cube d’acier et de fer, joue la carte de la sobriété et de la discrétion. Le gros lego a choisi de s’effacer au profit de la fantastique collection d’art moderne qu’il contient.
Il a été entièrement renouvelé, pour mettre tous ses joyaux en valeur, par l’architecte japonais, Yoshio Taniguchi, de 2002 à 2004. Cubisme, fauvisme, surréalisme, Pop Art, la collection donne le tournis.
150 000 œuvres, la collection est ouverte aussi à la photographie, au cinéma, à l’architecture et au design.
Pour les grands chefs d’oeuvre : la nuit étoilée de van Gogh était partie vers Amsterdam, mais les oliviers de Vincent van Gogh, exposés plus tard au Kunsmuseum de Bâle, étaient encore présents.
L’œuvre phare, les Demoiselles d’Avignon, de Picasso, très photographiée, au détriment du jeune garçon à cheval du même auteur, voisine avec d’autres toiles cubistes, de Braque, Gris, Malévitch Popova, mais aussi Diego Rivera (une surprise) Léger.
Une découverte, les sculptures de Boccioni,
Les peintures sont présentées par chronologie
Une encyclopédie complète de l’histoire de l’art de 1880 à nos jours, Picasso, Cézanne, Magritte, Matisse, Rousseau, Giacometti (le palace), Brancusi, Arp, Miro, Klee, Kandinsky, Tanguy, Mondrian, De Chirico, Duchamp, Bonnard, Vuillard,, Kupka, Chagall, Lautrec, Lewit, Rothko, etc …. aucun ne manque à l’appel, pour faire connaissance avec tous les mouvements artistiques, présentés chronologiquement et groupés par styles.
Des expositions temporaires y trouvent leur place, comme Martin Kippenberger, lors de notre visite.dans cette prestigieuse institution culturelle américaine.
Pour Dominique et les autres, j’essaie de rattraper mon retard
photos de l’auteur