Francis Evrard offre ses testicules à Nicolas Sarkozy

Publié le 18 octobre 2009 par Bravepatrie

« Je souhaiteré avoir votre accord pour subir une abblation des corones par chirurgie. Je sé que cela se fait au Canada et c’est san appel. De toute façon, à mon âge actuelle (63 ans) je n’en souffrirait pas et cela empècheras mes tandances envers les enfants. Pas de bras, pas de chocolat comme disait ma grand-mère. Merci mon Président de la République. Signé : Francis. »

C’est en ces termes simples que Francis, depuis sa cellule, demande à Nicolas Sarkozy de lui couper les couilles rituellement pour bien signifier au monde que désormais, il est le mâle alpha.

En effet, la législation française ordinaire ne permettant pas de prononcer une peine de castration physique, il faudrait que Nicolas Sarkozy fasse application de l’article 16 de la Constitution, se remonte les manches et sectionne lui-même le testicule corrompu pour le présenter à la Brave Patrie reconnaissante. Il se pourrait par ailleurs que ce soit le seul moyen de regagner la confiance d’un électorat silencieux et discipliné mais déçu de la politique un peu flasque du gouvernement en matière de délinquance sexuelle.

Castration physique : les tests en laboratoire sont concluants

Francis lance une bien belle perche à Nicolas Sarkozy. Reste à savoir si le Président va la saisir et contenter sa base. Selon certains proches de l’Elysée, "il pourrait opter pour une solution intermédiaire et couper plusieurs doigts", ceux que le violeur a utilisé pour commettre son forfait, incapable qu’il est d’avoir une érection sans prendre un triple viagra qui fait sauter son pontage coronarien. Éliminer l’objet du délit : de la pure sagesse populaire qui nous vient du plus profond des âges. Certains experts suggèrent également à Nicolas Sarkozy de lui péter les genoux au marteau pour l’empêcher de courir après les petits enfants. La Brave Patrie espère que le Président de la République saura faire preuve de l’imagination en matière pénale pour laquelle on l’a élu.

Le sort du courageux Francis qui accepte avec dignité le sort qu’il mérite en ferait presque une victime. Une victime des véritables commanditaires de l’odieux crime : les juges d’application des peines. "Derrière chaque viol, chaque vie brisée par la délinquance sexuelle, il y a un juge d’application des peines" affirme Frédéric L. Si Francis avait été laissé en prison, si la castration chimique à l’acide sulfurique avait été correctement dosée, on n’en serait certes pas là et notre pauvre Francis pourrait avoir une vie normale sur facebook.

Interrogé par la rédaction l’avocat de Francis se refuse à tout commentaire, nous informant simplement "qu’en cas de refus du Président de la République, Francis demandera à son codétenu". Francis semble donc décidé à aller jusqu’au bout de son combat pour le triomphe de la justice.