Magazine Culture
Let's dive into the sixties...
Très légere avancée de la batterie, mais l'orgue récupère la main dans la seconde qui suit.
La guitare entre alors en jeu, les tallonant de très près. C'est ensuite un formidable coude à coude à coude qui se joue dans la dernière ligne droite d'introduction : Les choeurs d'un côté, les clapements de mains de l'autre, et bien sur au milieu, les deux coups de cloches, les grands favoris de cette magnifique épopée.
Les choeurs réussissent leurs entrées sur de très beaux contre-temps, on se demande ce que va bien pouvoir rétorquer la voix...
Ohlalala, la voix étouffe les choeurs avec un accent grandiose et hilarant ! On me dit dans l'oreillette que le chanteur n'a que 16 ans : Belle perf' !
Les choeurs sont dans les cordes, mais le reste suit toujours.
Balle au centre.
A part ça, il est étonnant de constater à quel point l'on peut aimer une partie ou en détester une autre...
Je n'aime pas les refrains. Enfin, si, mais ç'est incomparable par rapport à ce que je kiffe les couplets.
INCENSE, PEPPERMINTS !!!
J'aime bien la reprise du couplet après le solo : 2 ouverture de charley à 1:41 (Elles sont parfaites ^^).
La fin est zarb ^^. En deux parties, la première est classique... Et puis après ça part en sucette : Shaalllaaaallaaaaaaa...
Hadrien, démodable