Les Balkany soutiennent la candidature de Jean Sazrkozy à la présidence de l'EPAD

Publié le 16 octobre 2009 par Gezale
légende photo : les Balkany (Rue89)
Le couple Balkany, si apprécié à Levallois-Perret et dont les frasques judiciaires sont dans toutes les mémoires, se présente comme les parrains de Jean Sarkozy au sens religieux du terme. Ce brave petit, il est encore plus précoce que son père et si intelligent, si malin, il apprend tellement vite. Que de talents affirme de son côté le traître Eric Besson, chez ce jeune appelé aux plus hautes destinées ! Avec Julien Dray, Jean Sarkozy s'est trouvé une équipe d'avocats crédible. Balkany, Besson, Dray, n'en jetez plus ! Même Rama Yade fait machine arrière. Elle accuse aujourd'hui l'AFP d'avoir abusé de ses propos, de les avoir interprétés quand elle a assuré que les affaires en cours suscitaient de l'émotion dans la population. Il est vrai que Papa Sarkozy a dû lui passer un sacré savon et lui dire : Rama, tu vas être virée du gouvernement ! La candidate aux régionales en Ile-de-France ne peut pas pousser l'impertinence au point de perdre son job…et a donc compris qu'il valait mieux rentrer dans le rang.
Plus de 60 % des Français (et une majorité à droite) considère que la nomination de Jean Sarkozy (l'élection si on préfère mais elle est tellement téléphonée) à la tête de l'établissement public d'aménagement de la Défense est uniquement due au piston et à son statut de fils à papa. Il n'y a que les fanatiques des Sarkozy et les ultras à droite pour croire à la version « talents » du prince Jean. En réalité, tout le monde sait que papa Sarko veut continuer à avoir la main sur l'avenir foncier de l'EPAD et le trésor que représentent tous les sièges d'entreprises. Tout le monde sait que la carrière politique de Jean Sarkozy, dirigée par un publicitaire et spécialiste en communication, devait débuter dès maintenant pour espérer virer Devedjian de la présidence du conseil général. Isabelle Balkany l'a dit tout net sur France 5 ce soir : Jean Sarkozy est notre préféré. Il a toutes nos faveurs. Des parrains, je vous dis.