"Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues,
c’est avec émotion que je suis ce soir à cette tribune, émotion et tristesse, partagée avec l’ensemble de mes collègues, car nous sommes ici pour parler de ce fameux redécoupage, que nous évoquons depuis si longtemps. [...]Ce ne sont pas tant nos cas personnels qui nous bouleversent, mais bien le respect du vote de chacun des électeurs de ce pays."
et avec le silence ...