« Cicéron accrédite ce mot de contaminatio. Contamination, sans rapport avec la rhétorique ou la médecine, qui s’oppose à l’imitation l’appropriation par des artistes vivants de figures étrangères ou passées, chargées par le temps d’un prestige de modèle. Le « musée imaginaire » incite à la rivalité : il faut répondre à la provocation de formes qui semblent inachevées par leur perfection même. » Jean Duvignaud, La contamination, in Le métis culturel, p. 15.