
Selon l'éditrice, Gudrun Vilmundardottir, le voleur a probablement renoncé à trouver la version anglaise du roman et s'est, en désespoir de cause, finalement décidé pour la version traduite islandaise, qui doit sortir d'ici quelque temps. C'est un photographe en entrant dans la maison qui aura perturbé les recherches de notre monte-en-l'air.
Une autre version de la traduction a déjà été envoyée à la relecture et l'éditrice ne se tracasse pas trop de savoir que la version dérobée pourrait se retrouver sur internet soudainement. Avec plus de 2 millions d'exemplaires vendus, dans le monde anglophone (sur 6,5 millions de livres imprimés), Gudrun avoue qu'elle s'est posé la question du piratage, mais elle doute tout de même...