S'il n'exclut pas un partenariat avec Google tout comme avec toute autre entreprise privée, il indique que celui-ci devrait être très encadré notamment au niveau de « la liberté d'accès et le respect du droit d'auteur ».
Il rappelle aussi la position de la BnF, une des rares bibliothèques recevant des subventions (CNL, Sénat...) pour la numérisation, ce qui lui permet de mener sa propre politique de numérisation, sans être tributaire de partenariats privés.
En guise de conclusion, il déclare que : « La numérisation n'est pas simplement la conversion du livre en numérique, c'est aussi une évolution des usages avec une circulation de la pensée sous de nouvelles formes ».