Et voilà le point de départ. C'est également ma référence. Quand je cherche l'émotion, la vraie, pas le pathos, je regarde ce film, et pleure à chaudes larmes devant la scène de Clint dans sa voiture sous la pluie, ou celle de Meryl Streep narrant son choc érotique en pensant à son bien-aimé sous la douche.
Bien sûr, le 7ème art ne fait que s'inspirer de la littérature qui en a des milliers à son rayon. Roméo et Juliette comme porte-drapeau. Quels sont les obstacles d'ailleurs ? Le mariage, le milieu social, l'âge et la différence de religion ou d'origine. Pour cette dernière cause, je ne peux m'empêcher de penser à Jungle Fever de Spike Lee. Une italo-américaine persécutée par sa famille car est la maîtresse d'un afro-américain, et tout cela dans une atmosphère puritaine et raciste. Lui est également marié. Double drame. Double peine.
Deuxième référence du genre : In the Mood for Love. Tristesse de cet amour interdit, oui mais grâce et douceur. Sensualité poussée à l'extrême par la géographie des deux amants ; ils sont voisins, vivant chacun avec son conjoint. Une B.O. extraordinaire, des acteurs magnifiques, un chef-d'oeuvre.
Pourquoi ai-je eu envie de parler de cette thématique ? Car cette dernière année, le cinéma français a été clairement inspiré par les Wong Kar-Wai et autres. Je l'aimais, Les Regrets, Mademoiselle Chambon, et Partir. Qui son actrice, Kristin Scott Thomas m'a également inspiré ce billet. Je voulais même dans un premier temps ne parler que d'elle, pour lui rendre hommage, à son talent et à sa beauté. Je m'excuse par conséquent de l'avoir oublié dans mon billet Ces femmes qui me donnent envie de vieillir.
Pour plus de détails sur ce très bon long métrage, je vous conseille le billet de Lady Péné, Partir avec Sergi Lopez.
Petit dernier, qui est une histoire d'amour banale finissant mal, ou plus précisément, pas très bien. 500 jours ensemble. Comme je l'ai vu dimanche, je voulais en parler. Et cela permet de finir sur une note moins "lexomilante". Rien à voir avec les autres en effet, puisque leur amour est impossible, mais non lié à un phénomène extérieur, ou plutôt à quelqu'un, mais le pauvre, il est fou d'elle, et pas elle. Une histoire d'amour traitée autrement que les comédies sentimentales américaines codifiées. Deux acteurs "choupinous". Une Zooey Deschanel à croquer.
Deuxième référence du genre : In the Mood for Love. Tristesse de cet amour interdit, oui mais grâce et douceur. Sensualité poussée à l'extrême par la géographie des deux amants ; ils sont voisins, vivant chacun avec son conjoint. Une B.O. extraordinaire, des acteurs magnifiques, un chef-d'oeuvre.
Pourquoi ai-je eu envie de parler de cette thématique ? Car cette dernière année, le cinéma français a été clairement inspiré par les Wong Kar-Wai et autres. Je l'aimais, Les Regrets, Mademoiselle Chambon, et Partir. Qui son actrice, Kristin Scott Thomas m'a également inspiré ce billet. Je voulais même dans un premier temps ne parler que d'elle, pour lui rendre hommage, à son talent et à sa beauté. Je m'excuse par conséquent de l'avoir oublié dans mon billet Ces femmes qui me donnent envie de vieillir.
Pour plus de détails sur ce très bon long métrage, je vous conseille le billet de Lady Péné, Partir avec Sergi Lopez.
Petit dernier, qui est une histoire d'amour banale finissant mal, ou plus précisément, pas très bien. 500 jours ensemble. Comme je l'ai vu dimanche, je voulais en parler. Et cela permet de finir sur une note moins "lexomilante". Rien à voir avec les autres en effet, puisque leur amour est impossible, mais non lié à un phénomène extérieur, ou plutôt à quelqu'un, mais le pauvre, il est fou d'elle, et pas elle. Une histoire d'amour traitée autrement que les comédies sentimentales américaines codifiées. Deux acteurs "choupinous". Une Zooey Deschanel à croquer.