Concours l’été indien

Publié le 14 octobre 2009 par Angelita

Chocoladdict et Virginie B organisent un concours pour ce fameux été indien que l’on a franchement dans le sud en ce moment.

Épreuve n°1 : Tous dehors, c’est l’automne !
On peut dire qu’en ce moment, c’est plus que l’été indien dans le Sud. Les températures ont un petit baissé cette semaine à cause des orages et de la pluie, mais depuis fin août, on bénéficie de températures qui nous rappellent les vacances et l’été et nous profitons d’un magnifique ciel bleu.

Heureusement pour moi, puisque mon lave-linge n’essore plus et que j’attends le réparateur. En attendant, mon linge goutte sur la terrasse et peut sécher.

Même si les arbres ont changé de couleur, nous annonçant l’automne avec leurs belles teintes orangées et qu’il faut se couvrir les épaules le matin, mais les pieds sont toujours dénudés.

Comme vous pouvez le voir sur cette photo, grand soleil, ciel bleu, peu de nuages et arbres changeant de couleur mais très peu

Épreuve n°2 : C’est l’automne dans mon assiette !

Personnellement, ce qui me fait saliver en ce temps là et je donnerai tout (non, je ne crois pas quand même puisque je n’en achète pas, ils sont trop chers dans le commerce) pour une assiette de cèpes aillés et persillés accompagnés d’un super bon confit.

Pourquoi des cèpes ? Tout simplement parce que je les adore et j’ai dans la tête des images d’avoir cherché et trouvé des cèpes avec mon grand-père. La première fois, c’était moi, la seconde fois, c’était ma mère.

Dans les forêts, nous sommes protégés par la pluie, mais nous étions armés d’un grand bâton, on ne sait jamais. A chaque champignon trouvé, mon grand-père (qui s’y connaissait) me disait si je pouvais le ramasser. Une très belle quantité ramenée. Nettoyée et cuisinée comme il le faut dans le Sud-Ouest. Les cèpes dégorgent beaucoup donc il faut s’attendre à en avoir beaucoup moins. Accompagnés ou non de frites maison, d’une belle tranche de boeuf grillée ou un confit, c’est un plat d’automne que j’adore.

Quand je pense aux cèpes, j’ai cette image, entre autres, de mon grand-père maternel que j’adorais.

Cette année, les Landes sont gavées de cèpes. Mes beaux-parents nous ont averti que leur congel était rempli et qu’il nous attendait. Mais ne croyez pas que je vais me précipiter.

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