« Les systèmes d'octroi de licences numériques actuelles s'occupent surtout de détruire le lien entre les lecteurs et le livre », ajoute-t-il. Car le DRM est avant tout un moyen factice de gagner de l'argent, car il n'existe aucun outil permettant à un éditeur de livres papier de s'assurer qu'un ouvrage ne sera pas prêté. L'exemple d'Amazon qui a dernièrement supprimé dans un geste autocratique, des ebooks présents sur des Kindle est d'ailleurs typique des nouvelles approches des vendeurs, axés sur le contrôle des titres.
Cory a cependant eu le courage de finir sur une note optimiste : « La bibliothèque de demain sera meilleure que celle d'aujourd'hui. Il suffit de cesser de croire que les pirates de votre département numérique ont raison » de vouloir insérer des mesures de gestion de droit.
Rassurant de se dire que les secteurs numériques d'une maison d'édition pourraient faire la pluie et le beau temps de l'édition, demain...