- Des investisseurs (dont Bernard Arnault) entrent au capital de Carrefour. Leur objectif : vendre ses magasins pour récupérer cet argent par les dividendes. Mais le prix de l’immobilier et l’action chutent.
- Ces investisseurs, qui possèdent 13% des actions et 20% des droits de vote, voudraient maintenant céder les magasins non européens de la société (Chine, Brésil, etc.), un remarquable succès, pour la ramener au marché européen, qui va très mal. Là aussi, l’idée est de récupérer l’argent de la vente via un (seul) versement de dividendes.
Retour à Carrefour dans l’impasse ?: l’actionnaire indélicat peut détruire l’entreprise. Or, contrairement à l’employé qui fait l’objet d’un long procédé d’acculturation (après sélection), l’actionnaire ne passe pas de test qui garantisse qu’il partage les intérêts de l’entreprise.