Les 350.000 titres disponibles pour le Kindle vont être agrémentés de 18.000 autres, qui sont des ouvrages libres de droits et gratuitement téléchargeables par les possesseurs du lecteur d'Amazon.
Évidemment, le cybermarchand ne touche pas un cent sur ces ouvrages, mais tente probablement de faire grossir plus encore son fonds de catalogue et de convaincre les curieux d'adopter son outil. Une démarche qui aurait été bien plus profitable dès le départ, mais qui sert bien mieux la cause amazonienne deux ans après le lancement du Kindle 1.
En outre, Sony dispose d'un demi-million d'ouvrages libres de droit offerts officiellement par Google - alors qu'ils sont accessibles pour tous les lecteurs supportant le format ePub et pas forcément de très bonne qualité. Il n'empêche que dans une boutique, cela fait bien de pouvoir déclarer que l'on dispose du plus gros catalogue. Et à ce titre, la route reste longue pour Amazon.
Petite note toutefois : si certains titres sont libres de droits, ou tombés dans le domaine public, c'est avant tout en regard de la législation américaine et pas forcément tous pour les clients bientôt internationaux. Certains coûteront 2,30 $ (avec les taxes additionnelles dues au roaming) pour toute personne résidant en dehors des États-Unis, comme on pourra le constater sur cette page.