“Abbiamo una minoranza di magistrati che usano la giustizia fine di lotto politico, abbiamo 72% della stampa che è di sinistra, etc… è il Primer di concludere meno male che Silvio c’è !”. Come sempre con Berlusconi la politica se ne ha convertito in una beffa dove ci sono le brutte: magistrati, giornalisti, rossi e le buoni : Berlusconi, la sua televisione, la sua stampa e i sondaggi.
Antonio di Pietro dal Partito Italie dei Valori, ha dichiarato che la legge deve essere uguale per tutto quindi la sentenza della corte costituzionale è normale. Adesso il ex-magistrato chiede la dimissione dal Primer che deve “tornare a casa fare il imputato”.
Ma Berlusconi non ha deciso cosi è rimarrà presidente dal consiglio mentre i giudici chiederanno esplicazione su diverse case di corruzione. Mentre la sinistra non si unisce c’è un gran riesco che Berlusconi, vince ancora le elezioni di 2013, è si frega ancora della giustizia e dal popolo italiano.
Italie : Berlusconi rit pendant que la Justice crie
Le 7 octobre la sentence est tombée, la cour constitutionnelle italienne invalidait la loi d’amnistie « spécial Berlusconi ». Baptisée « Lodo Alfano », cette loi devait conférer l’immunité totale aux quatre plus hauts personnages de l’Etat italien, dont fait partie Berlusconi. Le but de la manœuvre était d’éviter de voir le président du conseil italien s’éclipser de réunions pour aller témoigner à la barre dans les nombreuses affaires de corruption, de faux, d’abus de biens sociaux, etc… dans lesquelles il est cité.
Pour se défendre, Berlusconi a usé de sa rengaine habituelle, attaques contres les juges, la presse et le président de la République italienne : “Nous avons une cour constitutionnelle composée de 11 juges sur 15 de gauche, 72% de la presse et de gauche, ainsi que tous les artistes et saltimbanques, alors heureusement que Silvio est là” a déclaré le Premier ministre italien. Comme toujours avec Berlusconi il ya les gentils : lui, sa presse, sa télévision et ses sondages et d’un autre côté les méchants : la presse de gauche, les juges rouges, etc…
Antonio di Pietro, ancien magistrat et leader du parti « Italie des Valeurs » (centre-gauche) a demandé la démission de Berlusconi. Au moment du dépôt de la loi, di Pietro avait réuni une foule nombreuse à Rome pour demander le retrait de cette loi. Désormais, il demande au Premier ministre de « rentrer chez lui et d’agir comme un prévenu ».
Mais Berlusconi en a décidé autrement, il a déjà prévenu qu’il avait gouverné pendant 15 ans sans immunité et qu’il continuerait à le faire. Il est vrai que tant que la gauche italienne ne s’unit pas, Berlusconi a de grands risques de gagner à nouveau les prochaines élections de 2013.
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