Le street-art est devenu adulte, reconnu en entrain dans les galeries.
La démarche des artistes de simplement marquer son territoire est loin derrière. Nous revenons même aux premiers instants du grafitti qui a débuté lors de l’antiquité, lorsque des activistes inscrivaient des messages politiques sur les murs de Rome!
Sur les quais de Paris et au Pavillon de l’Arsenal, nous pouvons jusque fin novembre découvre l’œuvre de J.R. Son travail dans les town ships, les favellas met en lumière les habitants de ces ghettos.
Asbestos est un graphiste irlandais qui joue avec les stickers. Son projet LOST est une mine d’or pour se poser de nombreuses questions.
via et déambulation Hush-Hush @ La Nuit Blanche