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Les déguisements de templier (blanc), de chevalier du XIVème siècle (noir et rouge), de cathare (rouge) ou de
chevalier à la Fleur de lys (bleu), sont fidèles aux costumes des chevaliers du Moyen-âge.
Celles de l'Antiquité - gaulois/viking ou légionnaire romain - sont également composées de ces 5 éléments dont un casque approprié.
Epée, casque et bouclier sont réalisés en
mousse PE (polyethylène) recouverte de tissu extensible (élasthanne). Ceci permet d'avoir des armes d'apparence rigide mais cependant souples. Les enfants peuvent donc porter des coups sans se
faire mal (ou presque). Le heaume est extensible et convient quelquesoit le tour de tête. La mousse permet de lui donner une forme générale et le tissu se tend autour de la tête sans changer
l'apparence générale, même si les deux parties en mousse ne se joignent plus à l'arrière. La forme à l'avant est étudiée pour permettre aux enfants de respirer et il leur est toujours possible de
tirer le heaume vers l'avant compte tenu du caractère élastique du tissu afin d'être à leur aise.
Les produits sont conformes aux normes de sécurité des jouets (marquage CE) mais ne conviennent pas aux enfants de moins de 3 ans.
Ils sont adaptés pour des enfants entre 4 et 12 ans. La tunique pouvant être portée longue ou courte selon l'âge et éventuellement retrécie.
Le chevalier templier
Créé au XIIème siècle, l’ordre du temple est doté de la règle du « moine soldat »: simplicité, pauvreté, chasteté et prières. Son équipement est donc celui d’un guerrier, sans
ornement autre que la croix. Le templier porte une tunique longue, son bouclier est grand, son épée est sobre et son heaume est de métal.
Dans le costume pour enfant, la ressemblance est possible en portant la tunique longue et en présentant une épée aux couleurs sobres et à garde droite.
Le déguisement comporte une tunique blanche à croix rouge, une ceinture noire, un casque gris, une épée et un bouclier.
Le chevalier fleur de lys
Le lys, emblème des personnages royaux, fut porté sur le blason des rois capétiens, sous
forme de semé, à partir de Louis VII le Jeune au 12e siècle. Le nombre des lys fut définitivement fixé à trois "en signe de la benoîte trinité" par Charles V le Sage en 1376.
Dans l’esprit du XIVè siècle, cette tenue de chevalier est de couleur éclatante, avec des plumes sur le heaume. La ceinture, les lys, la décoration du heaume rappellent l’or et la garde est plus
large.
Le déguisement comporte une tunique bleu roi à fleurs de lys jaunes, une ceinture jaune, un casque gris à plumes jaune et bleu roi, une épée et un bouclier.
Le chevalier du XIVe siècle
Au XIVè siècle, les tenues de
chevalier deviennent plus sophistiquées, les épées plus travaillées et les tuniques se portent plus courtes. L’aspect esthétique est également important, les heaumes sont peints et la couleur
recherchée pour les équipements.Nous avons donc opté pour une épée à garde évasée, avec une poignée colorée et assortie à la ceinture de la tenue.
La tunique est bicolore et la sérigraphie est proche de celle de l’image. Un bouclier plus court et une plume sur le heaume mettent en valeur ces aspects.La tunique se porte plus courte, en la
faisant blouser par dessus la ceinture. Le heaume est noir, comme s’il était peint et rehaussé de jaune .
Le chevalier Cathare
À partir du 9e siècle le
pouvoir sur le Languedoc passa aux comtes héréditaires de Toulouse, dont l'emblème était la fameuse croix. Ceux-ci soutinrent les cathares contre Simon de Montfort (1209-1218) mais durent
s’incliner. Jeanne, fille de Raymond VII, dernier comte de Toulouse, épousa en 1237 le frère de Saint Louis, Alphonse de Poitiers.
Le chevalier cathare reprend les couleurs du Languedoc, tout en conservant la sobriété du mouvement : l’épée est simple, le heaume sans plume et la ceinture noire.
Le déguisement comporte une tunique rouge à croix de Toulouse jaune, une ceinture noire, un casque noir, une épée et un bouclier.
Le légionnaire romain
A partir du deuxième siècle, l'équipement d'un légionnaire est composé des éléments suivants :une armure en plaques de fer articulées du nom de "lorica segmentata", un
ceinturon (cingulum) qui supporte une série de bandes de cuir couvertes de plaques métalliques (de quatre à six), qui protégeaient le bas-ventre du légionnaire, un casque dérivé du casque gaulois
avec large couvre-nuque, un bouclier quadrangulaire et très incurvé appelé scutum ainsi que d’un glaive.
La tunique en laine est de couleur vive. Le costume reproduit par sérigraphie une lorica et un cingulum sur une tunique rouge et présente un bouclier typique de l’époque d’Auguste (Principat).
L’insigne déterminait l’appartenance à telle ou telle légion. Nous avons opté pour un insigne souvent utilisé dans les livres d’Histoire. Le glaive est réalisé sur le même principe que les épées
en mousse, mais plus court et avec une très petite garde.
Le déguisement comporte une tunique rouge et grise, une ceinture grise, un casque gris, un glaive et un bouclier.
Le gaulois ou le viking
L’armement, simple, se compose, pour
les plus riches, d'un casque hémisphérique ou conique, doté d'ornements en forme de cornes ou d'oiseaux. Comme arme défensive, les gaulois utilisent un grand bouclier de bois, ovale, rond ou
hexagonal, dont le centre (l'umbo) est formé d'une pièce de métal décorative.
Casque et bouclier constituent, avec le collier métallique (le torque), des symboles de puissance qui accompagnent le guerrier mort dans son tombeau. Les armes favorites restent l'épée, portée en
ceinturon, et le javelot (le madaris).
Le costume s’inspire de ces descriptions. Une sérigraphie à l’encolure de la tunique, courte, représente les riches broderies des tenues des chefs.
Le déguisement comporte une tunique brune, une ceinture jaune, un casque gris, un glaive et un bouclier.
De taille unique, il convient aux enfants entre 4 et 12 ans : la longueur de la tunique s'ajuste avec la ceinture et le casque est extensible