Si y’a bien un truc que j’aime encore plus que les putes slovaques et l’alcool frelaté, c’est bien de bosser gratuitement pour des boites qui sont évaluées à un milliard de dollars. Du coup, imaginez ma joie en recevant vendredi matin dans ma boite mail une invitation pour rejoindre le programme de traduction de Twitter. Bien que croulant sous le boulot, j’ai hésité moins d’un quart de seconde avant de cliquer sur le lien pour rejoindre l’équipe constitué à cette occasion.
Quelques heures plus tard, voici un magnifique nouvel onglet sur la gauche de mon compte Twitter qui me permet de modifier les textes d’une page ou d’accéder directement à la liste complète des termes à traduire. Sans rentrer dans le détail des traductions (surtout que je crois bien avoir accepté des conditions générales ou l’on promet de me couper les testicules si je parle trop), voici quelques informations intéressantes sur le sujet après quelques heures de pratiques :
Il est très dur de définir combien de personnes ont reçu l’invitation pour participer à la traduction du site. Je parierai pour une centaine de personnes, mais seul 34 sont actuellement actives sur le groupe créé à cet effet (et une partie d’entre elles viennent du staff de Twitter).
Comme dit précédemment, un Google Group a été créé pour l’occasion et nous y sommes en relation directe avec l’équipe de Twitter et plus particulièrement avec les huit « leaders » chargés d’encadrer la traduction française.
Si vous pensiez que traduire un site aussi minimaliste que Twitter se faisait les doigts dans le nez, détrompez-vous. Ce n’est pas moins de 1399 putains de textes qui sont à traduire, ceux ci allant du simple mot au paragraphe de 15 lignes (les sections about, help et les tips sont souvent bien galère à traduire).
Certaines brides de textes sont sacrément dures à traduire, celles ci venant de messages d’erreur ou de bouts de mail hors contexte.
Exception faite du point précédent, il faut bien reconnaitre que le système de traduction est très bien foutu. Dans le cas du travail « page par page », une fenêtre html se place en transparence par dessus la page en cours de traduction, permettant ainsi de visualiser sur quelle partie de la page on travaille. L’influence de Facebook qui avait opté pour un système équivalent se fait sentir.
Pour l’instant, seuls quelques mots semblent poser problème dans la traduction. Il s’agit sans surprise des termes « followers », « following » et « timeline ». Alors que certains (dont je fais parti) sont pour conserver les termes d’origine, la balance penche pour le moment en faveur d’une traduction complète de l’intégralité des textes. Les termes suivis/suiveurs ont heureusement été abandonnés (quasi certain à 99%) et l’on se tourne actuellement vers l’affichage d’un « X ils me suivent » et « XX je les suis ».
Enfin, voici la vidéo officielle expliquant les principes essentiels du système de traduction de Twitter que vous pouvez regarder tout en proposant votre candidature pour rejoindre l’équipe de volontaire ici.
Si y’a bien un truc que j’aime encore plus que les putes slovaques et l’alcool frelaté, c’est bien de bosser gratuitement pour des boites qui sont évaluées à un milliard de dollars. Du coup, imaginez ma joie en recevant vendredi matin dans ma boite mail une invitation pour rejoindre le programme de traduction de Twitter. Bien que croulant sous le boulot, j’ai hésité moins d’un quart de seconde avant de cliquer sur le lien pour rejoindre l’équipe constitué à cette occasion.
Quelques heures plus tard, voici un magnifique nouvel onglet sur la gauche de mon compte Twitter qui me permet de modifier les textes d’une page ou d’accéder directement à la liste complète des termes à traduire. Sans rentrer dans le détail des traductions (surtout que je crois bien avoir accepté des conditions générales ou l’on promet de me couper les testicules si je parle trop), voici quelques informations intéressantes sur le sujet après quelques heures de pratiques :
Il est très dur de définir combien de personnes ont reçu l’invitation pour participer à la traduction du site. Je parierai pour une centaine de personnes, mais seul 34 sont actuellement actives sur le groupe créé à cet effet (et une partie d’entre elles viennent du staff de Twitter).
Comme dit précédemment, un Google Group a été créé pour l’occasion et nous y sommes en relation directe avec l’équipe de Twitter et plus particulièrement avec les huit « leaders » chargés d’encadrer la traduction française.
Si vous pensiez que traduire un site aussi minimaliste que Twitter se faisait les doigts dans le nez, détrompez-vous. Ce n’est pas moins de 1399 putains de textes qui sont à traduire, ceux ci allant du simple mot au paragraphe de 15 lignes (les sections about, help et les tips sont souvent bien galère à traduire).
Certaines brides de textes sont sacrément dures à traduire, celles ci venant de messages d’erreur ou de bouts de mail hors contexte.
Exception faite du point précédent, il faut bien reconnaitre que le système de traduction est très bien foutu. Dans le cas du travail « page par page », une fenêtre html se place en transparence par dessus la page en cours de traduction, permettant ainsi de visualiser sur quelle partie de la page on travaille. L’influence de Facebook qui avait opté pour un système équivalent se fait sentir.
Pour l’instant, seuls quelques mots semblent poser problème dans la traduction. Il s’agit sans surprise des termes « followers », « following » et « timeline ». Alors que certains (dont je fais parti) sont pour conserver les termes d’origine, la balance penche pour le moment en faveur d’une traduction complète de l’intégralité des textes. Les termes suivis/suiveurs ont heureusement été abandonnés (quasi certain à 99%) et l’on se tourne actuellement vers l’affichage d’un « X ils me suivent » et « XX je les suis ».
Enfin, voici la vidéo officielle expliquant les principes essentiels du système de traduction de Twitter que vous pouvez regarder tout en proposant votre candidature pour rejoindre l’équipe de volontaire ici.