Olivier Adam «A l'abri de rien» L'Olivier
Philippe Claudel «Le rapport de Brodeck» Stock
Marie Darrieussecq «Tom est mort» P.O.L.
Michèle Lesbre «Le canapé rouge» S. Wespieser
Clara Dupont-Monod «La passion selon Juette» Grasset
Gilles Leroy «Alabama Song» Mercure de France
Amélie Nothomb «Ni d'Eve ni d'Adam» Albin Michel
Lydie Salvayre «Portrait de l'écrivain en animal domestique» Seuil
A part 2 ou trois auteurs, que des écrivains très connus !!!
Il y a quand même de grands absents qui ont fait parler d'eux lors de cette rentrée littéraire comme Cendrillon d'Eric Reinhardt . Mais le fait que l'écrivain épingle
Amélie Nothomb, écrivain archi commerciale, a-t-elle vraiment besoin d'un prix Goncourt ? Darrieusecq est la chouchou des critiques quant à Philippe Claudel, que j'adore, il a déja eu le Prix Renaudot pour ses magnifiques âmes grises.
Je pencherais donc plutôt sur "les petits jeunes" comme Olivier Adam et plus encore pour le rire, l'ironie et le refus du politiquement correct avec Portrait de l'écrivain en animal domestique de Lydie Salvayre
Même si cet écrivain hors du commun a d'ores et déja gagné sa réputation, elle n'a jamais remporté un "grand prix". Peut-être parce qu'elle gêne un peu ! Lors de cette rentrée, elle fait donc le portrait d'un écrivain qui cède à la toute-puissance du capitalisme en faisant l'hagiographie du roi du hamburger !!! (Voir la critique d'Evene)
Et si le Prix Goncourt était décerné à un écrivain qui se moque de son milieu ! Rêvons un peu !
Mais on sait que Le Prix Goncourt a toujours décerné le Prix du politiquement correct ! Alors....