Extrait d'un billet (21/09/09) du recteur Rentier (ULg), une leçon (il peut se le permettre, lui, je suppose) de stratégie d'encodage dans les dépôts institutionnels donnée aux "autres" universités dont il est fait mention ci-dessous:
"[...] Contrairement à beaucoup d’autres universités qui ont confié l’encodage à des employés temporaires, à des étudiants jobistes et aux bibliothécaires qui s’acquittent de cette tâche sur base d’informations fournies par les chercheurs en format papier sans réel souci d’harmonisation préalable, nous avons fait reposer la rigueur sur les personnes les plus concernées (dès qu’elle ont compris qu’elle l’étaient!). Ces institutions atteignent donc à peine 20% de documents en full text, elle dépensent de lourdes sommes dans ce contexte pour un résultat décevant avec le risque d’essouflement des équipes et de découragement des chercheurs. Notre approche est certes, au départ, moins populaire auprès de ceux-ci, mais elle se révèle en définitive payante pour tout le monde, et efficace. [...]"
De grâce, si vous vous sentez concernés, ne réagissez pas de manière émotionnelle... Le mieux, c'est encore d'ignorer que ces phrases ont été écrites et rendues publiques et de ne pas les signaler sur son blog, par exemple... :-)