', $('.barre_inserer')[0]);">', $('.barre_inserer')[0]);" title="Double-cliquez pour insérer ce raccourci dans le texte">
', $('.barre_inserer')[0]);">', $('.barre_inserer')[0]);" title="Double-cliquez pour insérer ce raccourci dans le texte">
Nous apprenons ce soir une bien triste nouvelle pour un bien joyeux bonhomme : Raymond Federman nous a quitté. Son oeuvre, échappant à toute classification, ample et riche d'expérimentation et d'humour, de réflexion sur l'identité et la mémoire familiale, sur le langage et sa mise en scène, est une singularité dans le paysage littéraire.
En attendant de lui rendre hommage à notre manière, nous proposons de relire les réponses qu'il a accepté de donner au QFFC en compagnie de son complice Pierre Le Pillouër. Ici.
Par ailleurs, son oeuvre a été évoquée à plusieurs reprises au Club et le sera encore. Là.
Son dernier livre est paru il y a à peine un mois aux éditions Laureli, il s'agit de Les Carcasses. Claro sur une note récente concernant ce livre écrivait : Federman n'a pas peur des ombres et s'amuse à décrire l'impertinent cimetière où nos êtres échouent avant d'être recyclés, nolens volens, après la mise à zéro de nos petits compteurs.
La malheureuse heure venue, nous souhaitons à Raymond une parfaite transmutation dans toutes les générations à venir et en cours !
', $('.barre_inserer')[0]);">', $('.barre_inserer')[0]);" title="Double-cliquez pour insérer ce raccourci dans le texte">