« Je crois en l’extraordinaire flexibilité du système. Nous avons engagé des moyens considérables. Les banques centrales ont puissantes. Les Etats sont puissants. Eric Woerth l’a rappelé tout à l’heure : nous n’allons pas augmenter les impôts. Seuls les emprunts ont été lancés massivement. Avec cet argent public, je suis convaincu que la machine va repartir. L’emprunt public, ce n’est pas bien, certes. Mais l’impôt, c’est pire. »
Le compte-rendu ne précise pas si un membre de l’assemblée lui a demandé comment un emprunt public pourrait être remboursé par une autre ressource que par l’impôt futur.
Source : "La lettre de l’afer" d’octobre 2009
(1) : Maître de conférences, directeur du magistère Banque-Finance à l'université Panthéon-Assas.