Les petits crobars colorés s’animent dans la symétrie naïve d’un miroir. On regarde se dérouler cette bande de papier et ces add on de synthèse : ça incite à la réflexion. C’est ici un haïku visuel qui laisse un petit goût sucré, fait pétiller les yeux, un pur exercice formel à l’instar de cette miniature electro qui l’entrelace. On admire, mais on ne sait pas ce qu’on admire, c’est un exercice, ça ! C’est trop court ! Mais oui, c’est trop court. Notre époque se repaît d’abondance, l’instant lui fait peur.