Ne demandez pas pourquoi, ça lui a pris un beau matin. « Nico », m'a-t-il apostrophé avec véhémence, mais respect, « je vous demande de me faire passer dans la revue de presse de Ruquier, parce que je le vaux bien », s'est-il repris en se souvenant à qui il s'adressait.
Voilà ce que c'est : un caricaturiste, on lui donne une phalange et il ne peut pas se contenter d'un ongle. Alors forcément, je l'ai fait châtier. Et pendant que Julien Allès expie pour ses péchés et son orgueil, voilà les choses auxquelles il aspire...