Ce système d'enchères se retrouve de plus en plus régulièrement chez les auteurs, qui profitent de leur renommée pour, la plupart du temps, vendre un personnage au plus offrant et reverser les gains à une association ou un organisme caritatif. En l'occurrence, l'intéressée est plutôt satisfaite de son alter ego littéraire. (voir son expérience)
Non seulement l'héroïne a un caractère bien trempé, mais elle disparaît à la page 30, ou presque... pour revenir tout au long du roman de 400 pages. Au milieu des sectes écologiques et des névrosés du développement durable, option groupes religieux instables, voilà un futur livresque plutôt inattendu.
Et comme Margaret ne réitérera pas l'expérience, la rareté de cette présence est encore plus marquée.